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John's Diary

17 juin 2007

Une journée sans...

Aujourd'hui, j'avais envie de rien, alors j'ai laissé glisser...
Tout ce qui se passé je l'ai laissé filer sans rien faire...
Aller au travail ne m'a pas dérangé, faire semblant d'être comme eux, non plus.
Peut être est-ce là leur secret.
La journée s'est continué... Je n'ai du me demander qu'une ou deux fois pourquoi j'étais là.
Tout se passer donc à merveille, quand sans savoir pourquoi mon supérieur direct me prend à partit. Sur le coup, je n'ai pas su pourquoi, avec du recul non plus d'ailleurs. Il m'a balancé tout ce qu'il avait sur le coeur - j'espère que ça lui a fait du bien - et moi je n'ai rien dit, j'ai laissé glisser...
Au début, j'ai essayé de comprendre, me défendre de n'avoir rien à me reprocher. Puis il a continué m'a mis en garde sur la manière donc je m'adressais aux gens et aussi à qui je m'adressais. Apparement le style rentre dedans ne plait pas à tout le monde. Bon a savoir. Puis, j'ai à nouveau laissé glisser. Mais ça n'a marché qu'en surface...
Depuis que je suis rentré je rumine. J'ai besoin de me vider la tête. Malheureusement, quand je rentre je suis tout seul. Rien ne change vraiment. J'ai cherché mon salut à travers le tube cathodique, mais lui aussi de bonne humeur m'a fait comprendre qu'ici régné l'ignorance et la stupidité... Mon périple nocturne n'en était qu'à ses débuts et déjà mon meilleur ami me laissait tomber.
J'ai alors cherché une issue à travers mon repertoire téléphonique. Les noms défilés accompagné de commentaire divers et variés... Avec femme... Avec enfants... Vraiment pas envie de le voir... J'ai encore son numéro.
Dans un dernier élan, je me suis levé et je me suis approché de sa chambre... Dans l'embrasure de la porte, la lumière du salon suffisait largement pour que je la regarde dormir. Elle était tellement calme... Et je suis resté là à la contempler pendant 10 min... Puis le quart se passa... La vingtaine ne frappa pas avant d'arriver... La demie eu la politesse de me taper sur l'épaule et j'ai quitté la chambre pour regagner la mienne. Mais avant je suis venu écrire ces quelques lignes parce qu'au final... Ce qui glisse ne reste pas, moi je préfère l'écrire...

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2 juin 2007

Faisons le point...

Le temps passe vite...
J'étais pourtant souvent de passage... Ma vie raconté à travers des lignes, des lignes derrière lesquelles je me cachais et une vie qui a finit par me rattraper. J'ai connu une fille... Qui ne m'a jamais lu. Une personne qui m'est chère et qui donc ne me liras jamais. Je ne parles pas de sentiment car ce qui n'existe pas ne peux pas disparaitre. On s'est vu et revu, assez pour décidé que le meilleur moyen de faire des économies serait d'utiliser la collocation. Elle s'est donc installé chez moi, et j'ai arrêté de me raconter. Comme le temps passe vite... J'ai finis par revenir. Un besoin de me retrouver, en somme. Et là, je vois si peu de ligne et tant de peine à les sortir. Le temps passe... Trop vite...

7 avril 2007

Il est l'heure...

24h plus tard, la fatigue un peu plus présente, je pense à tout ceux qui démarre leur week end tandis que moi je vais à nouveau me diriger là bas... Dans ces moments là, j'aimerais avoir un peu plus de courage et juste fermer les yeux... Pour dormir toute la journée. A la place, j'évite de penser, je rentre dans le moule d'un autre, je me fonds à la foule qui n'as plus d'état d'âme... Ces vraiment là, tôt le matin que j'ai l'impression que les choses n'ont guère évoluer... ou même juste changer. Alors que tout a changé... Tout a tellement changé que je cherche l'endroit ou je suis resté en rade... Peut être même que quelqu'un a pris ma place... Mon identité et que tel John Malkovitch dans son film éponyme, je suis devenu le spectateur de ma vie... Si encore ça permettait de se reposer un peu. Mais je dois bien reconnaitre que ça ne ferait même pas un bon film... Parfois, un court métrage sympa... Non, le format qui m'irait bien, au vue de ce que je peux voir quand je suis réveillé... C'est que ma vie est à l'image d'une bande annonce... Une bande annonce américaine... 2min d'extraits qui raconte tout l'histoire... Un peu triste pour moi mais tellement plus pratique, ça évite à tout le monde de perdre une heure et demi.... Tiens, il est l'heure...

6 avril 2007

Retour aux sources

Une fois de plus, mes clics m'on ramené ici...
Même si ça fait longtemps que je n'ai pas posté, je ne suis jamais resté trés loin...
Un an de plus...
Un an plus tard...
Il est 4h16 du matin et aujourd'hui je n'ai pas pu résister, il fallait que je post, que j'écrive, que je tape...
Peut-être que les minutes passent moins vite quand le jour ne s'est pas encore levé...
Peut-être que les années passent plus vite quand on ferme les yeux...
Il est bientôt l'heure...
Finalement ça passe vite... même quand la lumière est éteinte...

3 mars 2006

Un pas aprés l'autre...

Ce soir, je ne reste pas... Je vais d'abord aller boire, avec un vieil ami... Moi. J'ai pas mal de chose à me dire, et je pense que l'ambiance feutré et intime d'un comptoire se prête à merveille avec la discussion que je me suis préparé. Je ne suis pas spécialement pressé de me retrouver, j'ai plutôt tendance à avoir du mal à communiquer. Mais comme ce soir, pour la première fois, elle vient dormir à la maison, je préfère être prêt. J'aurais sans doute plusieurs choses à mettre au point. Mais une fois que j'aurais accepté de tourner la page, je sais qu'avec elle, tout ira bien... Mais avant ça, j'aurais besoin de beaucoup de verre. Il n'y a que sous l'influence de l'alcool que je deviens un peu plus maléable... Moi aussi d'ailleurs.

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1 mars 2006

Sans commentaire...

Parfois les choses se passent, et aucune surprise ne résulte de tout ça... Comme partout ailleurs, l'endroit ou j'effectue ma peine quotidienne est tombé malade. Le syndrome du dégraissage les as frappés. C'est une maladie, ma foi beaucoup trop répandue ces derniers temps. Une première vague de la malade a frappé. Et maintenant ceux qui doutaient d'être des éléments utiles n'ont plus à se poser la question, ils ne le sont pas. Et moi, specateur de ce massacre, j'observe ceux qui sont choisis, frappés au hasard, sans distinction aucune. Tel un chasseur, le délégué du personnel, tiens en joue, pour la plupart d'entre eux, une partie de leurs vies entre ces mains. Mais ce n'est pas ça qui l'empêchera de tirer. Lui, ne vit pas avec ce stress là, ces préocupations quotidienne sont beaucoup plus importantes, eux, ne représente rien. Eux, n'existent déjà plus pour lui. Ceux qui sont touché se releveront peut être, d'autres surement pas. Ils n'ont plus l'âge, ni la force de faire l'effort une fois de plus, même une dernière, surtout pour arriver à ce résultat. Comparé à eux, je suis encore un gamin, c'est peut être pour ça que je n'ai pas peur d'être touché par cette arme du destin. Moi, je suis prêt à partir, dés demain... Mais moi, je n'ai pas de familles à protéger, je n'ai pas d'enfants qui dépendent de moi... Moi, je me suffit à moi même. Eux, que leur restera-t-il quand la deuxième vague les aura contaminés.
Je n'aime pas parlé de ce genre de sujet, car on tombe toujours dans un certain partit pris et un côté dénonciateur qui ne me ressemble vraiment pas. Alors je vais faire comme d'habitude et un peu comme le reste du monde. Je vais fermer les yeux et voir ce que le destin me réserve. Pour moi, le jeu ne devient intéressant que lorsqu'on connait toutes les règles...

28 février 2006

Encore un qui s'en va...

Hier, c'était la dernière journée d'un gars avec qui je travaille. Je peux ajouter que c'était un peu plus qu'un collègue. L'un des seuls avec qui je pouvais discuter d'autre chose que du boulot. Il partageait certains de mes points de vues sur ce monde et pour d'autre était en total désaccord. Ca devait être là, le côté intéressant de nos discussions. On se ressemblait beaucoup, même si on oublié jamais que nous n'étions que des collègues l'un pour l'autre. On s'est vu plusieurs fois en dehors de nos heures payés, on s'est retrouvé quelques fois dans des bars ou chacun dévoilé un peu plus que l'image qu'on se plait à entretenir. On s'est confié réciproquement, on se faisait confiance, on a chacun eu notre lot d'histoire peu glorieuse... Et lui, à fait ce qu'il a toujours dit. Il est partit, pas que le boulot ne lui plaisait plus, il ne lui a jamais plut. Donc pour fêter son départ, lui et moi on a passé la soirée ensemble, à boire. Lui, non plus ne sait pas comment on fête quelque chose. On a continué à partager des histoires et des verres. Puis, la nuit a pris fin, alors on s'est dit à la prochaine, qu'on gardera forcément contact et qu'on s'appellerai bientôt pour manger ensemble. Aprés tout, c'est plus facile de croire à un au revoir, quand on peut éviter certains adieux. Mais aprés avoir débiter toutes ces politesses, il a finit par me dire une dernière chose. "Ne reste pas là, tu vaut mieux que ça". Il restait plusieurs heures avant que le jour n'apparaisse à nouveau et moi j'ai essayé de décodé ce message. Et pourtant tout à l'heure, quand il a fallut repartir travailler, je n'ai hésité que pendant cinq minutes avant d'y aller. Aprés tout, j'avais plus de huit longues heures devant moi pour réfléchir à ce que je valais vraiment. Bilan, je ne sais toujours pas ce que je vaut vraiment... J'espère juste qu'il me rappellera pour m'en dire un peu plus...

26 février 2006

Retour et départ...

Dans l'ensemble, on peut dire que j'ai passé un bon week end. J'ai d'ailleurs du mal à me dire qu'il est déjà finis ou en cours de finition et que je dois retourner travailler dés demain. Dans six heures pour être plus précis. Et là, je suis assis sur mon canapé, à me rappeler ces deux derniers jours, je laisse la télé tourner, on est dimanche, seul soirée ou on peut tomber sur des films. J'ai tendance à me vider la tête devant les films, je fais le vide, je ne pense plus à rien, encore faut il que le film soit un minimum bien sinon je m'ennuie, je pense aux acteurs et non plus au personnages, je pense à la technique et non plus à la magie. Mais ce soir, ça peut aller... Juste assez pour ne pas penser à toute à l'heure. Puis, comme entre deux films, il y a toujours un temps mort, j'ai décidé de venir me perdre un peu ici. Sans compter que ça fait un moment que je ne suis pas venu écrire. Principalement par manque de temps. Et aussi à cause de l'histoire sur laquelle je travaille. C'est long, trés long... Je n'arrive pas à être en accord avec ce que j'écris, je sais ou je veux aller mais je vais ailleurs, alors je remonte le fil. Je remonte le fil...
Et comme il n'est plus d'écrire ici comme ailleurs, je finirais de parler de ce week end, demain, ou un autre jour...

23 février 2006

Bref passage...

Hier soir, grosse sortie, j'ai arrêté de compter les verres  aprés le dixième et les bars aprés le troisième. Aujourd'hui, quand j'ai emmergé, je suis retourner me coucher et plus tard, je suis aller là voir. C'était une trés belle journée... Et ce soir, j'écris, mais pas ici... Je parle de moi, beaucoup, mais sans trop le montrer. Hé là, je vais y retourner, parce que le temps passe vite et que j'ai déjà perdu beaucoup trop de temps...

21 février 2006

Réapprendre à parler...

Je n'y arrive pas...
Ce ne sont pourtant que des mots, en soit ce sont des choses assez simples, pourtant sans eux, il n'y a pas de vie et les pages restent despérément blanches. Je me souviens encore, il n'y a pas si longtemps, ils sortaient presque tout seul, je devais canaliser tout ça, pour éviter de superposer mes idées. Et aujourd'hui, ces même mots me manquent... Il ne me reste plus que des description simplistes, des dialogues à côté, et j'évite tant que possible les figures de styles ou tout ce qui pourrait améliorer mes écrits. J'ai l'histoire, elle est là, je peux presque la toucher. Mais dés qu'il s'agit de lui donner vie, j'ai comme un blocage. J'ai même essayé de ne pas inventer et juste de me raconter, mais à chaque fois cela me parait faux... Je me souviens, avant, j'écrivais avec mes tripes, j'écrivais parce qu'à cette époque là, je ne savais pas encore parler. Les années ont quelques peu passés et maintenant que je sais parlé, il manque juste quelqu'un pour m'écouter. J'ai encore quelques heures devant moi et ce soir, je n'ai pas mal à la tête. Alors je vais essayer, encore une fois... Mais pas pour moi, mais parce qu'elle me l'a demandé, et ça ne me semble pas si loin...

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